Elecboy T1 - Naissance
- Série : Elecboy
- Tome 1 sur 4
- Dessin : Jaouen Salaun
- Scénario : Jaouen Salaun
- Éditeur : DARGAUD
- Label : LABEL
- Date de parution : 15 janvier 2021
Dernière mise à jour : 27 février 2025 10:51
Dernière mise à jour : 27 février 2025 10:51
Toute bonne chose a une fin. On a suivi avec grand plaisir cette série façonnée par Jaouen Salaun, avec premièrement un dessin somptueux. Le soin apporté aux personnages, aux décors, avoir la chance de voir des scènes épiques (surtout dans ce tome de fin) au découpage nerveux et des robots aux regards bien flippants, déjà, c’est acté qu’il s’agit d’une grande série.
De deux, il ressort de l’ensemble de la série une ambiance toute particulière qui reste longtemps en mémoire à mesure des pérégrinations du héros. Les décors dont on parlait jouent énormément bien sûr, mais c’est surtout la mise en scène qui est primordiale dans l’attrait d’Elecboy.
Cette mise en scène, elle fait résonner des plans des films de Jodorowsky, où l’éditeur s’est fendu d’un autocollant rappelant la parenté entre Jaouen et Métal Hurlant (à juste titre).
Et puis il y a aussi ce symbolisme qui sous des atours de SF parle de plus que de la science-fiction. Un vecteur thématique qui aborde des questions fondamentales, métaphysiques, qui abordent la parentalité (notamment, reclin-d’œil à Jodo).
Et enfin, il y a cette manière intense qu’a Jaouen d’écrire, où franchement son petit mot en remerciements de débuts d’albums met les poils et fait verser la larmichette, tout simplement. De quoi finir une série en beauté, faite par un auteur plus que talentueux et doué d’une grande réflexion sur son travail.
Un régal !
Publié le 27 fév. 2025
Toute bonne chose a une fin. On a suivi avec grand plaisir cette série façonnée par Jaouen Salaun, avec premièrement un dessin somptueux. Le soin apporté aux personnages, aux décors, avoir la chance de voir des scènes épiques (surtout dans ce tome de fin) au découpage nerveux et des robots aux regards bien flippants, déjà, c’est acté qu’il s’agit d’une grande série.
De deux, il ressort de l’ensemble de la série une ambiance toute particulière qui reste longtemps en mémoire à mesure des pérégrinations du héros. Les décors dont on parlait jouent énormément bien sûr, mais c’est surtout la mise en scène qui est primordiale dans l’attrait d’Elecboy.
Cette mise en scène, elle fait résonner des plans des films de Jodorowsky, où l’éditeur s’est fendu d’un autocollant rappelant la parenté entre Jaouen et Métal Hurlant (à juste titre).
Et puis il y a aussi ce symbolisme qui sous des atours de SF parle de plus que de la science-fiction. Un vecteur thématique qui aborde des questions fondamentales, métaphysiques, qui abordent la parentalité (notamment, reclin-d’œil à Jodo).
Et enfin, il y a cette manière intense qu’a Jaouen d’écrire, où franchement son petit mot en remerciements de débuts d’albums met les poils et fait verser la larmichette, tout simplement. De quoi finir une série en beauté, faite par un auteur plus que talentueux et doué d’une grande réflexion sur son travail.
Un régal !
Cette série est également un Coup de Cœur de David.
Publié le 5 fév. 2025